Comment Merkel et Hollande ont fait caler le moteur de l’Union européenne.
Paris et Berlin doivent arrêter d’appeler les Européens à agir, et agir eux-mêmes
Paris et Berlin doivent arrêter d’appeler les Européens à agir, et agir eux-mêmes
En 2013, le « Quartet » a permis, grâce à son rôle de médiateur, de trouver une solution pacifique à la plus grave crise politique que la Tunisie ait pu connaitre depuis la révolution
Les gouvernements européens – en particulier la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne – ne peuvent pas laisser la diplomatie onusienne faiblir
Les forces militaires russes ne sont plus un géant aux pieds d’argile mais une force de combat allégée et professionnelle
Paris et Berlin partagent essentiellement la même attitude envers les efforts de David Cameron pour remporter le référendum sur l’Union européenne (UE)
Dans son propre moment de vulnérabilité, qui viendra en aide à Angela Merkel ?
A présent, l’Allemagne dépend essentiellement de la solidarité européenne pour résoudre la crise, pour laquelle elle pensait pouvoir montrer l’exemple.
Tandis que la Russie et les Etats-Unis cherchent un consensus sur les lignes directrices à suivre en Syrie et sur l’accord nucléaire iranien, la constellation de puissances gravitant autour du casse-tête moyen-oriental est en train de changer.
Le gouvernement Modi, contrairement à ses prédécesseurs, exploite une source de soft power : la diaspora indienne.
Le président Poutine s’est adressé à l’Assemblée générale des Nations unies et a appelé à une large coalition pour combattre Daech.