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Les premières élections palestiniennes en quinze ans étaient censées se tenir le 22 mai prochain. Organisé aussi bien en Cisjordanie que dans la bande de Gaza, le renouvellement des 132 sièges du conseil législatif palestinien devait être suivi d'un scrutin présidentiel le 31 juillet. Maintes fois reportées depuis leur dernière édition, remportée en 2006 par le mouvement islamiste Hamas mais non reconnue par la communauté internationale, les élections législatives, annoncées solennellement le 15 janvier dernier par Mahmoud Abbas, visaient à montrer patte blanche à la nouvelle administration américaine. Et obtenir du président Joe Biden la reprise des liens politiques, économiques et humanitaires après avoir subi quatre années durant les coups de boutoir du président Trump, acquis à la c...
Comme c'est pratique d'avoir quelqu'un à accuser sans se remettre en question. On entend la même rengaine depuis la création de l'Etat d'Israël. Si ce dernier n'est pas exempt de critiques légitimes (quel Etat ne l'est pas ?), il faudrait que ce président apprenne un peu ce qu'est la démocratie et cesse de se faire entretenir par l'Union européenne.
Certains pensaient mettre le "Mammouth" à bas... C'est raté, mais pas surprenant, il est comme les autres : je suis démocrate et je veux garder la place !
cdt.
Comment durer une fois en place, la phrase « Nous avons décidé de reporter la date des élections jusqu'à ce que […] notre peuple puisse exercer ses droits démocratiques à Jérusalem » avec bien sûr le nous typique des tyrans et dictateurs de tous poils