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Le séjour en Terre sainte s'annonçait tendu. Premier dignitaire européen à se rendre en Israël après la formation du gouvernement d'union nationale d'urgence, le chef de la diplomatie allemande, Heiko Maas, devait rencontrer ce mercredi à Jérusalem le Premier ministre Benyamin Netanyahou et le ministre de la Défense Benny Gantz pour leur faire part de la « sérieuse inquiétude » de Berlin quant au projet d'annexion par l'État hébreu des colonies israéliennes en Cisjordanie et de la vallée du Jourdain, annoncé à partir du 1er juillet prochain.
Il devait ensuite se rendre à Ramallah pour y retrouver le Premier ministre palestinien Mohammad Shtayyeh, avec lequel il affirmait le 19 mai dernier partager une « grave inquiétude » quant au plan israélien, constituant, selon les deux hommes, une...
Excellente analyse !
Quand on voit d‘un côté le Kibbuz Ein Gedi, veritable jardin d‘Eden, et de l‘autre côté un désert aride à perte de vue, quand on goûte un de ces excellents pinots noirs ou syrahs provenant des hauteurs du Golan, fruits du labeur des vignerons israéliens, alors on ne peut en conclure qu’ Emiliano Zapata, paysan et symbole de la Révolution mexicaine, avait raison : « La terre à ceux qui la travaillent »...
L'UE est un nain politique. Le sujet Moyen-Orient le montre une fois de plus... Pourvu que ça dure !
La Cisjordanie, autrement dit la Judée Samarie, berceau du judaïsme et du christianisme, a été envahie en 1948 par l'armée jordanienne qui l'a annexée. Cette annexion n'avait bénéficié d'aucune reconnaissance internationale en dehors de trois pays : la GB, l'Irak et le Pakistan. Si en 1967 la Jordanie avait renoncé à envoyer ses blindés et son aviation contre Israël et perdu, Israël ne serait pas de retour en Judée Samarie. Il faut tout de même relever que durant toutes les années sous régime jordanien soit de 1948 à 1967, aucun Arabe palestinien de Cisjordanie n'a manifesté la plus petite velléité d'indépendance sous une bannière quelconque. Ne parlons même pas de Jérusalem qui devait obtenir un statut spécial sous contrôle international lors du vote de l'ONU du 29 novembre 1947 sur la création de deux Etats, l'un Juif l'autre Arabe. Conditions acceptées, y compris le statut de Jérusalem, par Israël mais refusées par tous les pays arabes Cela fait 72 ans que les nations arabes se présentent systématiquement en victimes d'Israël, alors que ces mêmes Etats n'ont eu de cesse d'envoyer leurs armées pour détruire l'Etat juif, d'abord en 1948, puis en 1967 et 1973. Où était la communauté internationale lorsqu'Israël se battait pour sa survie ? Josep Borrell, représentant de l'UE, se permet de faire la leçon à Israël, alors qu'il y a moins d'un mois, il apportait un chèque de vingt millions d'euros au gouvernement iranien. Ce même gouvernement qui semaine après semaine menace Israël de destruction. Israël, la seule démocratie et Etat non musulman du Moyen Orient. Cherchez l'erreur...